La Vie Morte est relativement dure à résumer. De
un, il s'agit - pour le moment en tout cas - du nom provisoire de
toutes les histoires qui se déroulent dans son univers. J'ai envie
de faire quelque chose comme Discworld, ou bien .hack// : Des
histoires distingues, mais qui se déroulent dans le même univers,
et qui donnent un ensemble si on les lit tous, mais qui se tiennent
seules aussi. Contrairement à .hack// j'ai envie d'éviter
d'interrompre une histoire en pleine milieu pour la reprendre
ailleurs (interrompre l'animé roots au milieu pour reprendre la
suite dans un jeu-vidéo), mais comme .hack// j'aimerai travailler
sur plusieurs supports (BD, romans, VN, etc.).
De deux, il s'agit également de l'histoire soit
disante "principale" de tout cet univers. Celle que j'écris
en ce moment. Et quand je parle de la "Vie Morte" je fais
le plus souvent référence à cette histoire.
Et cette histoire elle cause de quoi ?
Vous avez certainement déjà fait une partie d'échec, n'est-ce pas ? Déplacé des pions, les envoyants parfois à une mort certaine pour le bien de votre victoire ?
Mais avez-vous déjà songé ce que peut bien ressentir votre pion ? S'il se rend compte qu'il n'est qu'un pion à la merci d'une instance supérieure qui guide chacun de ses gestes malgré le fait qu'il s'acharne à penser le contraire ?
La réponse est assurément non pour Saêl Ladelis, chasseur de trésor. Au moment où il libère, avec l'aide de son compagnon non désiré Mérésin, une jeune femme scellée du fin fond de ruines oubliées, il est loin de se douter qu'il vient d'être dégradé au grade de pion, sur une grande partie d'échec aux règles étranges joués par des êtres dans l'ombre qui n'ont surtout qu'un but :
Ne pas s'ennuier.
La structure de l’histoire
La Vie Morte est une histoire écrite en mosaïque. À savoir, beaucoup de personnages sont nécessaires à la narration de son histoire, et le point de vue change. Pas forcément à chaque chapitre. Pas forcément dès le début. Mais plus on avance dans l’histoire, plus on est introduit aux personnages qui constituent et font fonctionner l’univers. Cela se fait doucement, mais sûrement, pour laisser le temps au lecteur de bien retenir les personnages déjà présent avant d’y ajouter un nouveau. Et en général, j’introduis un personnage avant de lui consacrer une partie de la narration.
La Vie Morte est également un univers relativement vaste. Au début censé tenir que dans un seul tome, j’ai dû faire face à l’évidence : Je n’en suis pas capable, à moins d’amputer des parties, ce qui donnerait naissance à un bébé mutilé. Cependant, avant de me consacrer réellement en division de tomes (que j’ai tenté de prévoir, mais mes personnages se sont fait une joie de (re)détruire toute ma planification), je veux d’abord écrire l’entièreté, pour ensuite voir où je peux le mieux “couper” et retravailler pour avoir des différents volumes. Le fait d’ignorer un peu combien de mots il faut à un tome en moyenne est grandement responsable pour ce choix.
Récapitulations des Extraits
Extrait du chapitre 1
Vous avez certainement déjà fait une partie d'échec, n'est-ce pas ? Déplacé des pions, les envoyants parfois à une mort certaine pour le bien de votre victoire ?
Mais avez-vous déjà songé ce que peut bien ressentir votre pion ? S'il se rend compte qu'il n'est qu'un pion à la merci d'une instance supérieure qui guide chacun de ses gestes malgré le fait qu'il s'acharne à penser le contraire ?
La réponse est assurément non pour Saêl Ladelis, chasseur de trésor. Au moment où il libère, avec l'aide de son compagnon non désiré Mérésin, une jeune femme scellée du fin fond de ruines oubliées, il est loin de se douter qu'il vient d'être dégradé au grade de pion, sur une grande partie d'échec aux règles étranges joués par des êtres dans l'ombre qui n'ont surtout qu'un but :
Ne pas s'ennuier.
La structure de l’histoire
La Vie Morte est une histoire écrite en mosaïque. À savoir, beaucoup de personnages sont nécessaires à la narration de son histoire, et le point de vue change. Pas forcément à chaque chapitre. Pas forcément dès le début. Mais plus on avance dans l’histoire, plus on est introduit aux personnages qui constituent et font fonctionner l’univers. Cela se fait doucement, mais sûrement, pour laisser le temps au lecteur de bien retenir les personnages déjà présent avant d’y ajouter un nouveau. Et en général, j’introduis un personnage avant de lui consacrer une partie de la narration.
La Vie Morte est également un univers relativement vaste. Au début censé tenir que dans un seul tome, j’ai dû faire face à l’évidence : Je n’en suis pas capable, à moins d’amputer des parties, ce qui donnerait naissance à un bébé mutilé. Cependant, avant de me consacrer réellement en division de tomes (que j’ai tenté de prévoir, mais mes personnages se sont fait une joie de (re)détruire toute ma planification), je veux d’abord écrire l’entièreté, pour ensuite voir où je peux le mieux “couper” et retravailler pour avoir des différents volumes. Le fait d’ignorer un peu combien de mots il faut à un tome en moyenne est grandement responsable pour ce choix.
Récapitulations des Extraits
Extrait du chapitre 1
Salut, je recherchais des BD à l'aquarelle pour m'inspirer à faire la mienne, et je suis tombé par hasard sur ton blog. Je trouve ton histoire très bien trouvée et tes dessins jolis. J'espère que tu continues quelque part dans un coin à faire ce qui te passionne, et sinon je t'encourage à le faire.
RépondreSupprimerJ'espère que tu consulte encore tout blog et que tu liras ce message ^^.
Jean